L’analyse des tendances du marché des serious games, et des jeux vidéo au sens large.
Par définition quand je vois la signature HBO, ma curiosité est tout de suite attisée. Avec HBO Imagine ça ne loupe pas…
Il suffit de lancer quelques chiffres de comparaison entre les marchés US et français du Serious game et on se dit décidément que l’on ne boxe pas dans la même catégorie !
J’ai vraiment l’impression qu’en France on est au pays du diesel pas seulement sur les routes mais aussi dans la tête.
Mais non rassurez vous Google ne va pas se mettre à la production de serious game. Mais avec un nom comme Google Games on s’attend à tout.
Il y a les marchés aux puces, les marchés de Provence et les Georges marchés (à Champigny sur Marne). Mais figurez-vous qu’il y a aussi des marchés pour Serious Games. Pourquoi n’y a-t-on pas pensé avant ? On peut bien acheter de l’air respiré par Brad Pitt sur Ebay, pourquoi pas un avatar ou un principe de jeu ?
L’IDATE (l’un des premiers centres d’études et de conseil en Europe dont la mission est d’accompagner les décisions stratégiques de ses clients sur les secteurs Télécoms – Internet – Médias) vient de sortir une étude sur les serious games.
Quel est le point commun entre Lara Croft et Maître Capello ? … et non, ce n’est pas le tour de poitrine. Je me suis creusé la tête et j’en suis venu à la conclusion que la réponse est : rien.
En passant devant le Ministère de la Crise du Logement, rue de la Banque à Paris, je me suis dit que l’Etat ne jouait pas pleinement son rôle face aux grands enjeux du XXIème siècle.
Si le Vélib’ a la cote à Paris, nos voisins d’Outre-Manche s’inquiètent de la prolifération des bicyclettes à Londres. Non pas que le vélo déplaise aux Londoniens, le problème viendrait plutôt du nombre d’accidents liés aux deux-roues.
En ouvrant mon journal ce matin, mon regard a été irrémédiablement attiré par un visuel à la Sim City représentant l’A6 en pleine migration pendulaire, un visuel à faire voir rouge le bison le plus futé. En plein milieu de la page, un chiffre – 400 000-, et un logo –ANPE.
Si, si. Ça se passe comme ça au Royaume-Uni, le diplôme de chez McDonald’s existe bel et bien. C’est ce que nous apprend le Figaro d’aujourd’hui.
Côté parfums de glace on le sait, les filles aiment la vanille et les gars, le chocolat. Mais ce qu’on sait moins, c’est que les goûts et les couleurs diffèrent aussi du côté des nouvelles technologies.
C’est en tout cas la simple équation qui ressort d’une grosse et coûteuse enquête menée par Ubisoft. Une opération qui, si elle se voit confirmée, pourrait changer durablement l’univers du jeux vidéo au sens large et, si on s’y intéresse ici, du serious-game en particulier.
Depuis quelques années, l’utilisation du jeu vidéo comme média porteur de messages est en plein essor.
Jeff Bell, vice président de Microsoft et Suzanne Seggerman, co-fondatrice de Games for Change se sont rencontrés cette semaine pour discuter du jeu à « intérêt général ».
La pédagogie classique propose un apprentissage linéaire qui se cantonne à prendre des chapitres les uns après les autres et à les descendre sans autre forme de fantaisie.
J’étais étonné d’apprendre au Summit Serious Game de Lyon que contrairement à leurs collègues américains, les serious gamers européens classaient les advergaming comme des serious game.
Aux Etats-Unis, les attaques contre le jeu vidéo se multiplient et ses détracteurs sont de plus en plus influents.
Je vous invite à regarder séance tenante cette vidéo tout simplement bluffante qui montre les possibilités offertes par les écrans tactiles.
Cette news n’a vraiment pas sa place ici, mais nous ne résistons pas à vous montrer ce que peut produire parfois de plus incongru la culture US : un IPod christianisé en forme de croix !